Le Parc
À la lisière de la forêt de la Double, la plus grande surface boisée du Périgord le Parc des Doublorigènes est situé dans un ancien verger familial, au centre géographique de la Nouvelle Aquitaine.
Présents sous forme de sculptures, les Doublorigènes sont des êtres imaginaires censés être les premiers habitants de la sylve. Leur nom est un mélange des mots : Double – Indigènes – Origine.
S’ils ont aujourd’hui disparu, ces sympathiques proto-humains sont les esprits bienveillants qui gardent le lieu .

Ce  jardin est dédié  aux arts buissonniers et aux loisirs paresseux.
Plan



Les créateurs du jardin
Que ce soit pour acquitter un billet d’entrée, prendre une consommation, une gourmandise, pour un échange amical, un renseignement ou une visite des lieux c’est à l’accueil que vous serez reçu par Sylvie Massiot et Dominique Perez les créateurs du jardin.
« Longtemps fascinés par l’univers des jardins, c’est après une visite à Chaumont sur Loire que nous avons décidé de créer ce lieu onirique réunissant nos compétences artistiques et notre imaginaire. »

Sylvie : native du bord de mer, j’échange l’air salin contre l’air plus poussiereux des théâtres et après des études universitaires je me lance comme comédienne et metteur en scène au sein de la Cie Nukku Matti.


Dominique : enfant du pays, je grandis dans la nature, développe un imaginaire démesuré, me passionne pour toutes les formes de création. J’obtiens un diplôme des Beaux-Arts.

Les Doublorigènes ? Qu’est-ce-que c’est ?

Mythologie : Premiers habitants de la Double, les Doublorigènes sont une des souches les plus méconnues de l’espèce humaine. À cette époque, les Doublorigènes, parfaitement hermaphrodites, se reproduisaient en s’autofécondant, en introduisant leur partie femelle convexe dans leur partie mâle concave. Une fois les ovules fécondées, la partie femelle quittait la partie mâle et c’est dans cet oviducte naturel que se développaient quatre à six œufs. Ils étaient ensuite pondus et enfouis dans des piles à compost qui assuraient la chaleur de l’incubation.
Grâce à ce mode de reproduction très favorable et sans prédateur naturellire la suite…